Les Histoires Elfiques

Scion Le Sage était Assis devant une feu crépitant, le seul bruit a ses oreilles était ceux de la nuit. Le Gibier qui se cherche un endroit calme pour dormir, Le créature nocture se reveillant en nombre pour vivre en pleine lune. Scion ce demandait ce que les Elfes des Légions Pouvait bien avoir vécu sur les Terres de Théssalie...
C'est ainsi qu'il ce leva et commenca a raconter son histoire , bien qu'il n'y eût personne pour l'entendre, étant seul devant son feu de camp.

Scion Le Sage: C'est dans les débouare des souterrains inconnus de certain que je vis le monde. Dans Les Souterain de Alfakr-Iltharakna. J'y vécu comme une ombre de moi-même ne pouvant me soumettre au facon barbare de mes frère et de mes soeur de sang! Chaque jour, avec mon infravision je regarde ces tache rouge et bleu, bleu pour nos lézard a sang froid qui nous serve de monture et rouge pour mes semblable. Je n'avait pour seul compagnons mon âme , qui ne semblait apartenir a ce monde, et mon fidèle lézard, Irrithar. La matronne de mon Clan , le clan Or'Sarta, prêtresse du notre vil dieu, Araknis, ce fendait l'âme pour me conformer a leur coutûme. Coûtume qui était plus sanglante les une qu les autres. technique de combat des assassins, Sort et magie noir émergeant de notre ...de leur Haine envers toute chose vivante, L'ascension au pouvoir au compromis de l'amitié, meutre par dessus meutre.

Scion s'arreta pour souffler.Raconter son passé le fesait souffrir et le rendait serain a la fois. L'elfe d'èbene regardait le ciel, il semblait communiquer avec les étoile elles-même. Puis il continua son récit.

A l'âge de 70 ans encore un Iltharyn selon nos critère , c'est-à-dire un adoslescent, je décidai de partir en compagnie de Irrithar, le seul être qui semblait me comprendre! J'ai naviguer durant je ne sais combien de temps, cela pourrai etre des jour comme des année, jusqu'au jour ou un lumière éblouissante m'envloppa. Mes yeux n'étant pas habituer a cette orbe incandescant, je me croyait mort, devant je ne sais quel dieu! Quel n'en fut pas ma surprise de voir des stalagmites vert et brun, que vous appelé des Arbres, quel ne fût pas mon déssaroi face a de nouvelles Race; Humain, Elfes blancs, Mystic tous s'aidai a batir un monde sur les terre des Théssalie. Après metre réfugier pendant plus de un ans dans une fôret prets du royaume d'un cetain Urthonis, je subît les rage et les foudre d'un guerre dont je n'était pas impliqué. Mais me fiant a mes instinc d'assassin et ma soif de vengeance face a mon ancienne vie, je dégainai mes Cimeterre; Varden et Alfakyn, c'est-à-dire le Gardien et L'elfe. Je foncait atravers la foret lorsque les bruit du combat m'ont ratrapé, je n'était plus qu'a un jet de pierre du champ d'honneur! redoublant d'allure je vis des homme s'attanquant, par millier, au royaume d'Urthonis. N'étant ni humain ni elfes blanc mon coeur devait ce choisir un allié...mes par me conduisirent vers mes cousins les elfes.

Scion s'arreta une fois de plus. Sa mémoire lui ramenai des images du champ de bataille. Les arbre des elfes couper par millier pour faire place a des barricade de bois créé par les humains. Les millier de banière du royaume humain flottant par-dessus les langues de fumée des feu de camp...

En me présentant de vant leur chef celui-ci n'eut ni crainte ni dégout devant mon apparence, au contraire il savait que j'était ici pour les aider. D'un mouvement affirmatif de la tête il me pointa la champ de bataille donna a ces guerrier l'ordre de me couvrir. Suivant son indication je sautai dans la bataille, Fauchant les humain des mes coups dévastateur, je prennai la vie sans autre regret de ne pouvoir en prendre plus, mes instinc qui mavait fait grandir en Alfakr-Iltharakna reprenait le dessus. Ivocquant des Sphère Sombres dans les rang ennemis, j'y plongeai tête première pourfandant les cibles, car les humain n'était devenue que des cible pour mon âme en peine! Je décapitait tout ce qui était sur mon chemin, tellement que les elfes durent ce retirer de mon entourage me laissant a moi même. Sans m'en rendre compte j'était arriver face au roi des humain, je continuai de dessiner des arabesque meutrières de mes lames affuter, voyant les homme tomber par dizaine autour de moi. Le roi s'avanca garde levée, puis Un autre Sphère Sombre l'engloutit, j'y rentrai sans me demander s'il devait périr ou non, mon coeur avait laisser place a une haine bien trop grande pour etre contenue, et je ressortit de la Sphère Sombre les cimeteres ensanglanté d'un sang royale. Des cors de firent entendre, les humain donnait leur retraite. Mon corps avait attein ces limites , après 3 heure a combattre seul des un marée humaine javait les muscles déconfit, ma raison divaguait , je me trouvait a mi-chemin entre Alfakr-Iltharakna et le royaume d'Urthonis, je voayit les deux monde en un. Puis le noir m'engoutit....

Ce ne fut que une semaine après la bataille que je me réveillait assis dans un lit digne d'un prince. La foule de badeau a l'exterieur criai des vivat et aussi ''L'eclair Noire'', cela sembalit etre le nom qu'il mavait affublé suite a ma rage meutrière. Le Roi vint dans ma chambre et me dit qu'il m'était très reconnaisant car sans moi il n'aurai pas pu protèger ses disciples et ses guerrier et ses paysans. Cela dit il me demanda mon histoire, qu'est-ce qu'un elfe noir comme l'ébène pouvait bien faire dans un monde de lumière. Lui racontant mon histoire , Urthonis vit dans me yeux la peine d'être seul face a la vie, et fit de moi son fils légitime, car il n'en avait aucun...ce n'est seulement , et malheureusement 2 ans apres que mon ''père'' mourru sur le champ de bataille voulant me protéger d'un coup surnois provenant du fils du roi qui avait succomé a mes lames... Depuis je m'éforce d'être un bon suzerain et en des temps sombre le seul être a mon comprendre , Irrithar, n'est maintenant plus seul, car je suis accompagnée de légendaire guerriers et mage des légions elfiques!

Scion se rassit espérant que quelqu'un ce cachait derrière le masque d'ombre des arbre, quelqu'un qui puisse lui tenir compagnie et lui faire part de ces apréhension....

- Les arbres ont des oreilles, cher ami. Il faudrait faire attention de ne pas dire n'importe quoi...

Calithrarion sauta de l'arbre ou il était perché et se redressa devant Scion, un sourire aux lèvres.

- Une bien belle et triste histoire que celle-là, poursuivit-il, la mienne est, disons, moins tortueuse et moins garnies de malheurs que la tienne. Si entendre celle d'un autre te confirmera notre bonté, je te raconterai la mienne.

Calithrarion se remémora son passé et commença:

- Jadis, lors de mon enfance, je n’étais qu’un simple elfe, fils unique d’un paysan veuf. Nous nous occupions principalement de faire pousser des légumes et du blés sur des terres offertes par notre bon roi. J’appréciais beaucoup l’agriculture mais je rêvais de plus grand, de quelque chose de plus concret que de faire pousser des aliments pour contribuer à l’histoire des elfes. Le soir, mon père me racontait avec beaucoup de nostalgie les glorieuses batailles où il avait arraché la victoire à nombres d’ennemis. Je voulais donc, quand j’entrerai dans l’âge adulte, faire parti de l’armée du roi pour prouver que je pouvais être bon combattant, je voulais faire mes preuves.

Un jour, je sorti chasser dans la forêt. Il ne restait presque plus de viande fraîche dans nos réserves. Je marchais silencieusement dans la forêt quand j’entendis des braillements d’enfant. Je courus, arc en main, dans la direction qui laissait échapper ses cris de nouveau nés. J’aperçus donc dans un linceul de feuilles dorées, un petit elfe ayant la peau ébène. Je le pris dans mes bras et revins à la ferme.

J’implorai mon père de le garder. Il accepta finalement malgré sa couleur noire. J’avais maintenant un frère. Je décidai de le nommer Thrithrandel en l’honneur de mon père, Thrandel. Nous grandîmes ensemble jusqu’au jour où vint le temps pour moi de partir rejoindre l’armée du roi, en guerre contre d’infâmes ogres. Mon père, profitant de l’occasion, m’offrit son épée longue du temps où il l’utilisait et une petite épée courte pour l’accompagner.

Je jurai à mon frère que je reviendrais plus fort et avec une bonne réputation de guerrier.

Je quittai ensuite les terres et la ferme qui représentaient toute mon enfance.

Avant de partir au combat, nous eûmes une session d’entraînement intensif au maniement d’armes. Elle me fut très bénéfique et je pus donc survivre à la guerre des ogres.

Calithrarion fit une pause. C’était une sale guerre, l’ennemi avait su lui montrer les horreurs de la vie en torturant devant lui des amis, des elfes qu’il respectait. En échange, il avait su leur montrer ses talents de bretteur, il n’avait laissé aucune chance à des monstres qui n’avaient aucune pitié. Ils lui avaient aussi enlevé sa douce Sélène, cette pensée lui déchira le coeur, une larme coula le long de sa joue. Scion le regardait attentivement, attendant la suite.

- Lorsque j’étais là-bas, j’ai perdu beaucoup d’êtres que j’avais appris à aimés, ce fut de lourde perte. J’ai pu, par contre, montrer mes talents de meneur et on me nomma lieutenant, puis capitaine et finalement 1er commandant en chef.

C’est suite à ma nomination de commandant que le roi me fit venir à son chevet pour me dire qu’il me proclamait futur roi, n’ayant pas d’héritier. Puis, la fin de semaine mourut et malheureusement le roi aussi. J’étais maintenant donc le Souverain du royaume.

Je suis donc retourné à la ferme de mon père. Je le découvris dans son lit, malade comme le roi auparavant. Thrithrandel était à son chevet. Ce dernier avait beaucoup grandit, il était dans l’âge adulte lui aussi. Une épée à deux mains à son coté m’indiquait les activités qu’il avait dû avoir après mon départ. Mon père me fit venir près de lui et dit quelques mots :

- Tu es roi, tu es commandant ! Je te demanderais une faveur, je veux que tu recréés les Légions elfique, pour la gloire des elfes et de leurs alliés !

Il mourut dans la soirée. Suite aux funérailles, j’observai mon frère, une chouette perchée sur son épaule. Il avait grandi, son visage avait changé. Je lui demandais ce qu’il avait fait ces dix dernières années et il me répondit tout bêtement :

- C’est une longue histoire, je te la raconterai un jour si tu le désires.

Puis avec mon frère, je remis sur pied, selon les vœux de mon défunt père, les ancestrales légions elfiques!

Voilà mon histoire, voilà comment je suis devenu ce que je suis.

Lorsque Calithrarion se tut, le silence régnait autour du feu. Seuls quelques craquement de brindilles de la forêt parvenait aux oreilles des conteurs: Quelqu'un les écoutaits!