Une rude-moitiée

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Une rude-moitiée

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Le Rp est encore en phase de correction donc le texte peut changer!

Grand, robuste, musclé, portant diverses fourrures animales sur le corps et une cotte de mailles sur les épaules, Bragth marchait.

Le demi-orc marchait seul, aux cotés du singulier cliquetis qu’offrait le cognement de ses armes sur l’armure de mailles, depuis vingt-six jours, depuis la nouvelle lune qui avait annoncé son départ.

Bragth avait marché à travers un marais boueux cachant vermines et petites bestioles, à travers une immense forêt où il avait été repoussé par des fées gardiennes et finalement à travers une plaine sauvage où seuls les animaux sont maîtres des lieux. Ce périple avait un but précis, et Bragth était encore loin de l’atteindre. La première étape était de retrouver un homme du nom de Lima dans une certaine grande ville du nom de Flengora, une ville côtière qui regorgeait de marchants.

Bragth, faisant face au soleil rayonnant de chaleur, marchait maintenant non loin d’une route en direction de la ville marchande, sans toutefois s’y approcher de peur de se faire traiter de pourriture d’orc. Il cherchait un moyen d’y entrer sans alerter la populace côtière.

Deux possibilité s’offrait à lui : soit il tentait de se déguiser pour passer inaperçu, domaine où il n’excellait absolument pas, soit il passait par les égouts de la ville, là où l’on pouvait apercevoir, dans sa plus grande splendeur, les dessous de la ville. Les montages de déchets, les ruisseaux de défécations et les plus grosse vermine que l’endroit pouvait garder, des rats énormes, étaient monnaie courante dans ces profondeurs dégoûtantes.

La deuxième option parue plus facile aux yeux de Bragth, plus dans ces capacités, ce qui lui arracha un grognement de satisfaction. Étant donné que personne ne garde les égouts, sont enter serai donc discrète, facile et surtout très salissante. Les égouts ne furent pas dur à localiser, elle représentait une grande fosse, proche de la mer, où un énorme tuyaux de briques laisser couler tout les débris de la ville. C’est dans ce tuyau que le semi-orc entra.

Ce que Bragth n’avait pas prévu, c’était la noirceur qui dominait totalement les dessous de la ville. De plus pour rajouter à se problème, les égouts était de véritables labyrinthes, aucune façon de s’y repéré n’apparut au grand gaillard. Il devait donc y aller à tâtons en espérant que ses mains finiront par heurter les barreaux d’une échelle menant à la surface.

La pénombre devient de plus en plus inquiétante lorsque de petits couinements se firent entendre en résonances provenant du fond, là où le tuyau obliquait. Puis, dans un silence soudain, une masse poilu se frotta contre la jambe de Bragth, suivit d’une autre, puis d’une autre ! Des rats ! Le demi-orc, à semi effrayer, sortie une hache double de son dos et, avec plusieurs moulinet frappant de tout coté, il toucha, avec un plaisir certain, quelques créatures. Ces dernières fuirent, saignés à mort, tout en poussant des cris suraigus dans la sombre noirceur qu’il prenait pour demeure.

Comme si l’énergie qu’il avait utilisé suites aux attaques de rats ne s’était pas dissoute, Bragth se mit en marche plus rapidement. Ses mains finirent bienheureusement par heurter des barreaux, qu’il supposa, d’une échelle. Il avait finalement trouvé une voie vers la ville.