Le commencement

Pour commencer, j'aimerai que vous postiez les Rp que vous m'avez envoyé (ou créés en un nouveau si vous n'en aviez pas fait), lorsque je vous ai envoyé mon Rp de recrutement.

Si vous ne vous en souvenez plus, moi j'ai archiver toutes les réponse que j'ai reçu dans mon courrier donc demander-le moi sur Bahagon de vous l'envoyer!

Un long rugissement de cor elfique se fit entendre au dehors de votre royaume. D'un pas précipité, vous sortez de votre château et apercevez deux elfes, un blanc et un noir, a la tête d'une troupe légère de leurs semblables. Ces deux derniers sortirent de leur rang et s'avancèrent vers vous.

Ils sont pareillement vétus et arborent, sur leur armures, d'ancestraux signes elfiques. L'elfe noir porte sur son flanc une grande et fine épée a deux mains et vous regarde intensément avec...de l'espoir? L'autre, l'elfe blanc, porte a la ceinture une dague et une épée longue de fabrication elfique. De sa voix fluide et enchanteresse, l'elfe blanc déclara:

"Je me nomme Calithrarion et voici Thrithrandel. Nous sommes a la recherche d'elfes loyaux qui veuille rejoindre nos Légions elfiques. Nous avons entendus parler de vos prouesses d'armes et de votre talent certain pour combattre. Accepteriez-vous de rejoindre les Légions elfiques pour la gloire de nos ancêtres?"

L'elfe qui se tenais devant eux était de taille plus petite, arborant des habits fort simples sauf un détail qui attirait souvent l'attention des autres : sur sa ceinture étaient accrochés une paire de gantelets de mythril ayant des lames au sommet de chaque joinctures. Ces armes peu communes avaient su désarmer et mettre hors d'état de nuire plusieurs malfaiteurs lors de ses jeunes années ce qui lui apporta le respect de son entourage. Cet elfe se nomme Yarzo.

Les habitants de son royaume l'avaient élu chef grâce à sa vitesse d'esprit et lorsque l'on parle de lui, on est certain d'entendre de ses prouesses les mêmes mots " Il attaque aussi vite qu'il pense!".

Lorsqu'il vit les deux elfes arborant les blasons des anciennes légions, il ne put s'empêcher de sourire. Prenant l'histoire de sa famille très au sérieux, il descendait d'un capitaine d'une des Légions et en était très fier. Lorsque l'elfe blanc eût fini de parler, Yarzo alla lui serrer amicalement le bras, comme le faisait son ancêtre pour rassurer ses troupes.

- Moi, Yarzo, Chef de ce Royaume, serai ravi de vous aider du mieux que je le pourrai à la restauration des Légions Elfiques Ancestrales. Je viens peut-être seulement d'accèder ce poste de Chef mais je saurai vite devenir un atout pour les Légions. Comptez sur moi! Je suis des vôtres et resterai loyal aux Légions jusqu'à ma mort!

Un Cor se fit entendre , Annoncant la fin de la bataille, guerre qui dura 2 ans , détruisant faubourg et Rempart du Royaume de Urthonis. Mais le valeureux Urthonis mourru sur le champ de bataille, bien qu'il ait gagner la guerre, il voulut protéger son fils, Scion, d'une Attaque surnoise, mourant sur le coup. Son Fils , Scion, Accouru vers son père mourant. Arriver a ses côtés Scion Tendit l,oreille pour entendre ses dernière volontées:

- Scion, Promet moi de ne pas laisser mon royaume entre de mauvaise mains, Sur notre amour de la terre, fait rennaitre notre royaume!

Ses yeux se refermèrent en un dernier souffle de vie. Scion ne ressantait ni chagrin ni frustration, au contraire il semblait serein. Il pris son père dans ses bras et parcourue le chemin vers les ruine du chateau familialle de leurs royaume, où il dépossa le corps inerte de son père. puis il convocqua les Paysan et les derniers guerriers pour leur faire part de ses intentions. Le peuple se réunis devant le chateau...

- Peuple de Urthonis! Mon père ma fait promettre de faire renaitre son peuple , come le phénix de ces cendre! Je prendrai le controle de ce royaume que si vous m'y permettez. Donc ceux qui seront de marbre et voudront récréé le royaume sous la banière Du Royaume De Scion, reste et les autre sont libre de partir....

Deux Mois s'écoulèrent ainsi, Pendant que Scion organisait sont restant de Royaume, Jusqu'au jour où il se rendit compte qu'il aurai besoin D'aide.

Donc un soir ou il était dans sa chambre, il décida de faire son paquetage de voyage.Son bras droit, Lithandril le vit et l'interrompi:

- Mais Où allez vous Ebrithil?
- Je pars Chercher de l'aide pour notre royaume, chercher nos frère de sang, Je compterai sur toi pour gérer mon royaume pendant mon absence mon ami! je devrai etre de retour d'ici un mois, mais sache que je reviendrai plus fort et plus determiné que quiquonque a faire revivre les elfes, et ce sur ma Parole De Gardien des Elfes, Ài Varden Älfakyn!

Scion Partit donc a la pleine lune vers des contrée lointaine, Marchant pendant plus de 3 semaine sans voire âme qui vivent, sauf du gibier. jusqu'au jour ou il apercu des Arbres d'une hauteur inhumaine. Se remémorant son enfance, il y vit l'amour des elfe pour la nature, et aussi le signe que des Elfes ne devrait pas etre loin. Il fit donc résonner son Cor pour annoncer son arriver. Il entra dans cette fôret Abritant un merveilleuse cité elfiques. Lorsque les porte S'ouvrire il vit Calithrarion l'invité a prendre du repos dans son Humble Royaume.

Scion y passa 3 jour, ou il délibéra sa cause jour et nuit....

Un Cor se Fit entendre a l'extérieur des faubourg du Royaume de Scion,Le tremblement de la terre, significative des marche d'une armée! Le Peuple si aggloméra donc en passant a une nouvelle attaque des humain, qui avait tué leur premier Roi! Puis une Banière Flotta en berne par dessus les millier de sldat qui marchait vers leur Royaume....
Au devant des millier de soldats ce trouvait trois elfes dont Scion Arborant une nouvelle Armure au Armes Des Légions Elfiques....

Une flèche siffla près de son oreille. Il prit ses jambes à son cou et zigzagua entre les arbres, arbustres et obstacles de la forêt. Horfilith était un jeune elfe noir, assez robuste pour son âge avec des traits fins et affinés. Pourchassé par des chasseurs maléchés, il dut courir un long moment avant de s'apercevoir qu'il les avait semés. Néanmoins, il finit par trébucher et dévala une colline.

Se relevant de peine et de misère, il tomba face à face avec un grand homme..... non, plutôt un elfe. Il le contempla quelques instants et finit par voir l'emblême de la légion sur le blason qu'il portait. Horfilith resta muet, lui-même descendant de cette fantastique génération, selon son grand-père, était abasourdi par cette nouvelle révélation. Qu'allait-il penser de lui? un espion? un fugitif? Non! Il était un chef de guerre, un combattant, qui avaient été bannit de sa patrie pour trahison. Mais ce fût un coup monté! Mais il ne put jamais le prouver.

Il finit par se tenir droit, se coiffa légèrement et finit par déclarer:

- Moi, Horfilith, jure sur ma parole d'homme que toujours je défendrai ma patrie, toujours je protégerai les miens et mes supérieurs et que je leur devrai loyauté et respect! Vous pourrez toujours compter sur moi! Je donnerai ma vie pour pouvoir restaurer à jamais les Légions Elfiques Ancestrales!

Rares étaient les personnes qui connaissaient Khaedre. Dans sa solitude, il avait laissé plusieurs personnes derrière lui qui ne surent jamais qui il était vraiment. Pourtant, depuis quelque temps, il avait envi de raconter, de faire savoir ce qu’est ce mode dans lequel il a grandi et de montrer qu’on peut y échapper! Dans tous les royaumes, on connait la réputation des drows, mais seulement un drow peut savoir comment on parvient à cela. La différence entre les elfes de surface et les elfes noirs va bien plus loin que la peau. La culture, la spiritualité, l’idéologie Drow est en soit unique… et sadique. Aussi, pour tous ses futurs alliés, qui encore peut-être se méfient de lui, voici son histoire. Voici MON histoire.

Dans un monde ou seuls les plus fort survivent, les drows ont réussi à dominer, non pas grâce à leur force physique, mais plutôt à cause d'un ensemble de magie, de technique et de désir. Si un jour vous croisez quelqu'un ou quelque chose qui a vécu en Ombre-Terre et que vous avez la chance de lui parler. Demandez lui ce que sont les cités des Drows! Autour d'une citée Drow, rien n'existe, aucune créature ne se promène. Si par malchance une patrouille Drow vous prend dans son territoire, vous êtes morts, peut importe vos raisons. Dans les grandes citées, où les différentes maisons se détruise entre elles pour augmenter leur rang, aucun n'est à l'abri du meurtre. Partout ou on va, même chez soi, dans son lit, personne n'est sauf. Il y a toujours quelqu'un derrière vous, prêt à vous tuer pour augmenter sa gloire. Tout est permis, sauf la faiblesse. Ces immense cités, dévorées par les guerres intestines sont pourtant les plus redoutées. La raison? Très simple, les dieux. Toutes ces guerres ne sont pas seulement une recherche de pouvoir, mais proviennent aussi d’un immense désir de plaire aux dieux et déesses. Ils sont le cœur et la raison des cités Drows. Ils leurs donnent la magie, le pouvoir, mais en retour, exige une obéissance et une dévotion sans failles.

Dès son plus jeune âge, un Drow est formé pour se battre, que se soit avec des armes ou avec des sorts. À l'agilité et la vitesse naturelle des Drows, s'ajoute la magie fournie par les dieux et vous avez la race la plus puissante du monde le plus impitoyable qui soit. Les armes Drows tranchent la roche, leur piwafwi les rendent invisibles et silencieux et par dessus tout, leur cotte de maille magique est quasi infranchissable.

Dans la cité ou je suis né, rien n’était grand. On attache souvent au Drows des mondes tels que Menzoberranzan ou Ched Nasad, mais plus profondément sous terre on retrouve des plus petites cités, mais toute aussi sauvages! Moi je suis né dans un monde bien différent de la plupart des Drows. Peu de personnes, mêmes parmi les Drows, connaissent cet endroit. Kerehtirith est le nom donné à la plus grande stalagmite d'Ombre-Terre. Située près du coeur de la terre, elle est coupée de la plupart des autres citées Drows. Seul des escortes spéciales formées de 5 soldats d'élites et d'un chef de patrouille, avaient pour mission de remonter les sous terrains pour rester en contact avec le reste du monde.

Je ne me rappel rien de ma tendre enfance, qui n'a bien sur jamais été tendre... Chez les Drows, les enfants sont élevés au fouet. On m'a dit un jour que j'avais de la chance d'être seulement vivant. Je dois avouer que je n'étais pas un enfant ordinaire. Avant tous les autres, j’ai appris à léviter et j’avais coutume de me battre contre des enfants deux fois plus âgés et d’en sortir vainqueur. Tous pensaient que je serais un des plus grand bretteur, non seulement à Kerehtirith, mais dans l’ensemble des cités du monde sous terrain. Seulement, bien vite je me suis rendu compte que ce n’était pas ma place. Je peux être considéré comme un enfant rebelle, hors, chez les drows, les rebelles sont tués. Plusieurs fois j’ai échappé de justesse à la mort. Je ne «prouvais pas ma foi» et étais «récalcitrant vis-à-vis les ordres de mes maîtres». À partir d’un certain âge, et après de multiples séances de fouets et quelques menaces de mise à mort pour avoir des idées hérétiques, j’ai compris qu’il serait peut-être bien pour moi de faire semblant d’y croire. Aussi, j’ai passé mon adolescence à cacher mes idées, à continuer cette vie qui me rendais malade mais qui m’étais forcée.

Comme j'ai dit plus tôt, je ne me rappel plus beaucoup de ma jeunesse. Dans un monde qui n'étais pas le mien, j'ai oublié les meilleurs moment pour garder seulement les pires. Certains croient que tu forges ton caractère, ton âme en prenant exemple des personnes qui t’entourent durant t'a jeunesse. Je ne le crois pas. Dès que j’ai vu de mes yeux les premiers sacrifices en honneur des dieux, j’ai commencé à les détester. Leurs idéaux de chaos et de mutineries que ma race aimait tant, était pour moi un supplice à entendre. Aussi, pour moi, les coups de fouets n'ont pas été le plus dur à supporter, mais plutôt les leçon sur un dogme qui n'étais pas le mien et auquel je du faire semblant de croire toute ces années.

Étant le meilleur guerrier de ma citée, j'étais souvent confronté en duel dans ma jeunesse. Malgré moi je tuais plus de Drow en une année que l'âge que j'avais. Dévorés par leurs ambitions, il ne s'arrêtaient jamais, dans ce monde, mieux vaut la mort que de vivre avec le déshonneur de la défaite. Plus tard, quand j'approchai mes 50 ans, je fut nommé chef de patrouille. Durant 10 ans je parcouru Ombre-Terre, chassant des monstres dont vous n'avez pas idées, tuant pour me sauver des pensée qui me hantais. Un jour, à la veille d’une de ces patrouilles, j’appris que les cinq soldats sous mes ordres faisaient parti d’une maison rivale. Ma soeur avait tout fait pour éviter, car cela signifierait probablement ma mort. Pourtant je l'ai rassuré, trop confiant de mes capacités, mais aussi voyant en cela une opportunité de fuir. Fuir à jamais ce monde qui n’était pas le mien.

Mon plan a marché, comme je m'y attendais, les 5 guerriers de la deuxième maison s'attaquèrent à moi en même temps. N'ayant aucune issue sinon le combat, je décidai de frapper où ils sont le plus vulnérable: l'honneur. Je faisais face à des soldats de la même maison, si les cinq ce mettait ensemble, j'étais fait. Voilà ou est la grande faiblesse des Drows, chacun voulu ramener l'honneur de m'avoir tuer, aussi, avant même de commencer le combat, deux d'entre eux étaient morts, tués par leurs frères. Je m'occupai alors des trois derniers, non sans difficulté.

Après cet affrontement, je remontai, affrontant les bêtes sauvages d'Ombre-Terre seul. Je devînt surentraîné, Ombre-terre étais un refuge, la solitude était mon amie et tuer était mon passe-temps. Un passe-temps qui m’empêchait de penser, qui me faisait oublier… Un jour, je senti que j’arrivais proche d’une grande citée. Menzoberranzan selon mes souvenirs. Je n’y étais venu que très rarement puisque Loth s’occupait de transmettre l’information. J’ai alors décider de la voir. Voir cette légendaire citée où, disait-on, les drows étaient les plus féroces. On m’avait dit plus jeune, que dans cette cité, le respect avait parfois le dessus sur les ambitions. Que leur cité était plus unie.

Alors que je m’approchais de la cité, je fus surpris de n’être intercepté par aucun garde, aucune patrouille. La réponse à mes interrogations me fut vite donnée. En entrant dans la cité je vis un spectacle que j’avais vu bien trop souvent déjà. Une maison en attaquait une autre, tuant sans pitié, détruisant tout. Extermination était le bon mot pour décrire cette attaque. Autour de ce champs de bataille, toute la citée admirait ce spectacle. Je décidai alors de partir pour de bon. De m’en aller vers la surface, le seul endroit où je ne rencontrerai plus de Drows! En partant de cette citée, je me fit un serment : ne plus jamais y revenir.

Le voyage dura plusieurs mois, mais j’ai réussi. Je pris ensuite plusieurs jours à m’habituer à la lumière du soleil. Encore aujourd’hui, lors de belles journées, je dois me promener avec ma capuche pour ne pas brûler ma peau. Je raconte mon arrivée ici comme la fin de mon histoire, elle est en fait un début. J’ai passé 30 ans à voyager. Seul ou avec des personnes que je rencontrais ici et là. Mais je ne voulais pas de stabilité. Je voyais en mes voyages, une sorte d’échappatoire. Je me réfugiais, bâtissant ma propre philosophie du monde. Je conquis maints trésors, dont le plus cher à mon cœur, Chrysalide le cimeterre de glace. Je me fis des amis, qui virent en moi quelqu’un d’honnête. Pourtant, jamais je ne trouvai mon foyer.

Un jour, lors de mon dernier voyage, je fus pris en pleine mer par une tempête. Sur mon petit bateau, je me suis battu sans relâche pour sauver ma vie. J’y parvins, échouant sur les rives d’une terre inconnue. Je me bâti alors une maison. N’ayant plus aucun moyen de revenir en arrière et étant totalement perdu, j’essayai d’établir des contacts. Après quelques jours d’exploration je remarquai que j’étais dans un monde différent… Partout sur cette terre on voyait châteaux, murs, forteresses. Plusieurs fois je vis des armées énormes passer tout près de ma terre sans même la regarder. Lors d’une de mes excursions, je rencontrai deux chevaliers ayant un gros K sur leur armure. Je me convaincu de les approcher, quitte à ce qu’ils me rejettent comme l’avait fait plusieurs avant eux.

J’appris que j’étais dans un monde appelé Delos, un monde sans pitié ou les guerres entre alliances sont fréquentes. Encore! Mon passé ne me laisserais jamais. Pourtant, cette alliance que j’avais abordé par hasard me surpris. En effet, ils étaient bien loin de tout ce que j’avais pu vivre dans le passé. Plus même! Ils étais ce que j’avais recherché inconsciemment. Elle se battait pour le bien! Pour l’égalité, la justice, l’honneur! J’ai trouvé parmi ces gens, une famille, un foyer. Pour la première fois de ma vie, je me sentais chez moi! Avec des personnes qui partageaient les mêmes buts que moi, qui se battaient pour défendre l’opprimé et non pas pour l’ambition!

Pourtant, un jour vînt où je dus les quitter, le passé me ramenais vers lui… Bien des choses s’y sont passées, aussi ce voyage fera parti d’une autre histoire. Quoi qu’il en soit, j’en revins, et c’est lors de mon retour que je croisai Calithrarion. Il me parla de son histoire, et je décidai de me joindre à vous.

Sachez mes amis, que je suis avant tout un elfe qui prône le respect, l’honneur, la dignité et la passion. Je ferai tout mon possible pour vous, tout comme vous le ferez pour moi j’en suis sûr. Que notre alliance soit unie et forte!

Gloire & Honneur!

Ulrich le Généreux ayant entendu les lointains échos des exploits de Calithrarion et des ses légions elfiques décida, pour le bien de son peuple, de rejoindre les légions. Il organisa donc un énorme convoi pour déménager son royaume près des terres des légions elfiques.

La traversée de la Vallée Obscure fut sans aucun doute la partie la plus périlleuse de notre voyage. C'est le repaire des hordes de gobelins et ils nous harcelèrent sans cesse.

La dernière attaque des gobelins fut la plus cruelle. L'embuscade tendue sur les rives de la Rivière Ardente fut catastrophique. Les pertes subies par le roi Ulrich décimèrent presque son peuple. Seul quelques elfes survécurent à cette terrible attaque.

Les gobelins sentirent qu'ils avaient une chance de vaincre Ulrich et il lancèrent une ultime attaque dans les plaines Eoril, au sortir de la vallée. Ulrich le Généreux perdit malheureusement la vie dans cette bataille malgré le brio du contingent de Mythril affecté à la protection du roi. Cet elf, fils de militaire et reconnu pour prouesses au combat, prit les choses en main et mena le reste du peuple d'Ulrich le Généreux à destination.

Mythril le Juste est maintenant à la tête des survivants du peuple d'Ulrich le Généreux et il a réalisé le rêve d'Ulrich, il a finalement rejoint les rang des légions elfiques!

Échos du royaume de Mythril le Juste
Par le barde Ellodil.

Chef de 3e Légion Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 12/02/2007

Le puissant elf errait dans la forêt depuis bien longtemps. Son plan pour protéger son peuple de l'apocalypse avait échoué. Lui-même avait évité la mort de justesse.

Le regroupement auxquels il s'était joint lui avait fait défaut. Les différents seigneurs petits gens, mystiques et humains n'avaient pas écouté les sages paroles de leurs alliés elfs. Ces seigneurs non-elfique, emportés par leur visions de grandeur, ne se préparèrent pas à l'Apocaplypse.

Lorsque la furie de Chaos déferla sur Thessalie, les seigneurs sans protection tentèrent d'entrer dans la cité elf de Calahir. Sans aucun égard pour lui ou pour son peuple, ses propres alliés percèrent le bouclier laissant ainsi entrer l'énergie destructrice du grand Chaos. Le choc fut terrible et la cité fut complètement rasé, désintégré par les forces en cause.

Le puissant guerrier elf se réveilla plusieurs jours plus tard. Constatant son erreur, il se rappela un regroupement d'elf l'ayant accueillit en des temps difficiles. Les Légions Elfiques l'accueillirent à bras ouvert et, avec son esprit vengeur, il attira quelques elfs noires qui décidèrent de devenir ses suivants.

Le corps de Calahir commença alors sa guérison en s'imprégnant de l'essence de ses nouveaux sujets des Légions Elfiques. Il jura allégeance à Calithrarion et il jura également de protéger son peuple et les autres peuples des Légions Elfiques contre les autres races de ce monde.

Elle avait entendu les cors, les cris, les appels. Depuis maintenant deux ans qu'elle se cachait, se terrait dans les coins les plus calmes et les plus désertés de ce monde. Sowen détestait les guerres, les combats et les morts et c'était en fuyant qu'elle avait réussie a survivre. Lâche direz-vous? Vrai. Nous aurions pus la traiter comme telle, mais plus personne de son royaume n'était encore en vie pour le dire. Depuis deux ans, lentement, elle préparait sa vengeance, maudissant chaque jours les destructeurs du Royaume d'Olrath. En tant que dernière représentante de ce feu merveilleux monde, il était en son devoir de venger ses frères et soeurs et patrie.

Deux ans ayant passée, elle décida enfin de montrer qui elle était réellement. Une combatante hors pair, peut-être quelque peu distraite certes, mais hors pair. Elle avait alors entendue parler, de par le vent et les feuilles, de ces légions, des légions elfiques. Elle était seule, oui, mais dans ce monde, même les bien entouré était seul, tous était la pour des choses totalement différentes, mais aussi pour la même chose; sauvé leur royaume, notre monde. Plus seulement survivre, mais plutôt vivre.

Maintenant, présentement, a ce moment même, elle se tint devant Calithrarion et lui dit haut et fort, de manière presque imposante (ici noté que Sowen était d'assez petite taille, n'intimidant absolument personne... ce qui fesait en soi une de ses forces, les autres la sous-estimant souvant):

- Je suis là, pour vous, pour moi, pour nous notre peuple vos royaumes. Pour vivre. Je serai une alliée, un atou et vous m'aimerez.

Puis elle se pencha respectueusement....